4 Français sur 10 craignent les effets secondaires du vaccin H1N1. StreetPress interview le conseiller délégué chargé de la santé dans le 19e arrondissement.
Le cardinal André Vingt-Trois et le Grand Rabbin de France Gilles Bernheim ont animé la réunion « Juif et Catholique, un dialogue pour l’avenir ». Niveau anim’ les Go n’était pas au top (regardez le président du Crif, Richard Prasquier qui pique un somme dans la vidéo ci-dessus). Heureusement que le débat sur l’identité nationale nous a réveillé.
Être français, il faut que cela serve à quelque chose
Selon le Cardinal, « ce n’est pas indécent de se demander ce qu’est que l’identité nationale ». Mais il regrette que la question ne soit pas replacée dans « un cadre méthodologique ». « C’est une question dynamique. Il faut se demander vers quoi veut-on aller, pour la culture et la société française. Nous sommes devant un déficit de perspectives.» En gros, pour André XXIII , une fois qu’on saura ce qu’est un Français, il faut que cela nous serve à quelque chose.
Vivre à la française
Pour le Grand Rabbin, il y a deux manières d’être français, le sens légal et le sens du vécu. «La difficulté c’est d’être les deux ». Il compare le fait d’être français au fait d’être juif.« Un juif, c’est celui qui est né d’une mère juive, ou naturalisé. Mais parfois on peut être juif, ou français, dans un sens légal, de naissance, mais pas dans le vécu, dans la façon de vivre»
Il y a donc bien pour le Grand Rabbin, une façon de vivre française. Espérons pour lui qu’être français – comme on l’entend dans certains débats – ça n’est pas aimer le jambon-beurre.
Voir aussi: “Débat sur l’identité nationale dans le 9-3, «département français »”:http://www.streetpress.com/subjects/28
Sources: StreetPres
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