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Point G et désir sexuel

1804 femmes britanniques, âgées de 23 à 83 ans ont participé à l’enquête. Parmi elles, la moitié étaient des jumelles. Des chercheurs leur ont demandées de jauger leur désir sexuel. Et parallèlement si elles pensaient posséder un point G.

Même patrimoine génétique, même point G ?

Résultat : 56% des femmes interrogés ont affirmé avoir un point G. Et parmi les couples de jumelles les réponses étaient aussi dissonantes que chez les non-jumelles. Pourtant les jumelles partagent intégralement le même patrimoine génétique. Mais, d’après l’étude, il y a incohérence puisqu’elles ne semblent pas partager pour autant un point G.

Un mythe qui se serait développé en même temps que les magazines feminins

Le point G serait en fait subjectif. Il dépendrait de l’activité sexuelle, puisque les femmes les plus actives sexuellement sont celles qui prétendent le connaitre. Selon les scientifiques, l’existence du point G reposerait sur un mythe qui se serait développer en même temps que les magazines féminins et les sexologues. La sexologue Beverly Whipple, qui avait popularisé cette découverte, a dénigré l’étude. Pourtant l’étude est la plus importante jamais réalisé sur le point G.

Pendant ce temps, le chirurgien esthétique de Beverly Hills, David Matlock, pose des point-G artificiels qui décuplent le plaisir, même au simple passage de ralentisseur en voiture. A vos volants messieurs.

Source :“Sunday Times”:http://www.timesonline.co.uk / Marie Molinario