4 Français sur 10 craignent les effets secondaires du vaccin H1N1. StreetPress interview le conseiller délégué chargé de la santé dans le 19e arrondissement.
Dans un article publié ce lundi 10 décembre, Marianne évoque une mystérieuse « arme secrète » mise à disposition des forces de l’ordre en prévision de débordements majeurs de la manifestation des gilets jaunes. L’hebdomadaire, qui cite notamment une « source haut placée dans le dispositif policier » détaille :
« Samedi 8 décembre, certains des blindés de la gendarmerie disposés pour la première fois dans Paris étaient secrètement équipés d’un dispositif radical, qui n’aurait été utilisé “qu’en dernier recours” : une réserve de liquide incapacitant. Selon nos sources, la pulvérisation de ce liquide sur une foule de gilets jaunes aurait été capable de « les arrêter net, mettant les gens à terre, même avec des masques »
Précisant que le fameux produit n’avait pas été utilisé. Pour en savoir plus, StreetPress a contacté le ministère de l’Intérieur. Du côté de la place Beauvau « on dément formellement » :
« Il ne s’agit en aucun cas de “liquide incapacitant” ! Le Gouvernement n’a pas “d’arme secrète” »
Le ministère explique cependant que les VRBG , ces fameux blindés, sont équipés d’un « lanceur et diffuseur de lacrymogène ». France Inter précise que « ce gaz peut être projeté du haut du blindé avec une lance à une densité et une force beaucoup plus élevées qu’une grenade lacrymogène ou une gazeuse manuelle ».
Edit le 12/12/2018 : Mardi 11 décembre, Marianne a ajouté des précisions à son article. Le journal maintient que « certains blindés déployés à Paris samedi étaient bien équipés d’un dispositif de “pulvérisation” d’un produit “incapacitant” », précisant toutefois qu’il s’agit d’un produit de type « lacrymogène à dose forte ».
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