4 Français sur 10 craignent les effets secondaires du vaccin H1N1. StreetPress interview le conseiller délégué chargé de la santé dans le 19e arrondissement.
Le casting :
Un jeune provincial de 15 ans, les sites de 2 multinationales – MasterCard et Paypal – le FBI et la police française.
Le décor :
Une chambre d’ado en Auvergne à partir de laquelle sont gérés trois gigantesques serveurs implantés en France, en Allemagne et aux États-Unis.
Le genre :
Un remake de Matrix tourné au pays de Vulcania (big-up à VGE ).
L’intrigue :
Le pilote : En automne dernier, le gouvernement américain a demandé à plusieurs grandes sociétés de stopper leur collaboration avec le très controversé site d’information, WikiLeaks. Certaines d’entres elles, comme Visa ou MasterCard, sont immédiatement rentrées dans les rangs.
Saison 1 : Pour montrer leur soutien au créateur de WikiLeaks, Julian Assange, des internautes, appelés les Anonymous, se liguent pour pirater les sites de ces sociétés en les saturant de requêtes.
Saison 2 : Depuis sa chambre, un jeune homme de 15 ans gère trois gigantesques serveurs qui sont chargés de déclencher les attaques informatiques contre des sites internet. Le jeune homme s’est notamment attaqué à ceux de 2 multinationales, MasterCard et PayPal.
Saison 3 : Le 16 décembre, le hacker, féru d’informatique depuis ses 6 ans, est interpellé chez lui dans le Puy-de-Dôme. Pendant sa garde à vue de 3h, le garçon reconnait les faits. « C’est un passionné, avec des idéaux », explique une source judiciaire au Parisien.
Saison 4 : L’infraction est passible de 5 ans de prison. La police poursuite toujours ses recherches pour identifier les autres Anonymous : autant chercher une aiguille dans une botte de foin.
Secrets du tournage :
Les Anonymous sont un collectif d’internautes qui mènent des attaques pour défendre la liberté sur la Toile. « Ils organisent des débats sur des forums, choisissent leurs cibles et préparent leurs attaques en interconnectant leurs serveurs. C’est une petite armée de perturbateurs animés par des motifs idéologiques », explique un spécialiste au Parisien.
Soutenez


