4 Français sur 10 craignent les effets secondaires du vaccin H1N1. StreetPress interview le conseiller délégué chargé de la santé dans le 19e arrondissement.
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Compositeur power-pop de génériques de séries TV
En écoutant Brendan Benson, c’est un tourbillon d’images de différentes séries TV qui nous arrive en pleine poire. Cet artiste de Detroit a composé pour différents feuilletons, comme la série britannique Teachers.
Brendan est un chanteur, un compositeur, un homme-orchestre, un de ces gars qu’on appelle «Artiste». Il présente au Nouveau Casino son quatrième album « My old, familiar friend » toujours très power pop. Signé chez Cooperative Music, on est heureux d’accueillir cet Américain, qui touche enfin à la gloire avec ses mélodies limpides et élaborées.
Car de son premier opus “One Missisipi” (1996), les souvenirs ne sont pas aussi agréables. Les critiques avaient été positives, mais les ventes catastrophiques. Virgin le foutait à la porte, entrainant une terrible dépression qui allait l’éloigner de la scène pendant 6 ans.
Brendan Benson – Tiny spark
Un teint bluesy très The Raconteurs
En 2002 « Lapalco » montre que Virgin s’était trompé et avec « The alternative to love » (2005) il n’est plus un risque pour les maisons de disque. Sa réputation devient internationale quand avec son pote Jack White, il fonde The Raconteurs.
Brendan n’est pas un artiste révolutionnaire: ses 11 dernières pistes sonnent familières. Ses arrangements soul sont ultra-efficaces, et sa voix expressive complète ces mélodies bien ficelées. L’album a des tons blues envoutants. On vous conseille donc de vous laisser aller à l’énergique “Poised and ready”.
Son MySpace
Source et Photos : Michela Cuccagna / StreetPress
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