Pourquoi le vaccin fait flipper les Français

Des podiums aux salles de concert

Le cliché de la belle blonde sans cerveau est mort. On remercie Mickey Green qui en prenant quelques kilos nous a montré qu’être mannequin (elle a commencé sa carrière sur les podiums) c’est juste une manière pour gagner de l’argent facilement quand on est jeune et jolie. Son destin n’était sans doute pas fait pour le monde futile et superficiel de la mode. Son talent, qu’elle doit tenir de son père musicien, l’a démontré lors de cette date unique à Paris.

Honky Tonk encore mieux que White T-Shirt

Michaela de son vrai nom, a effectivement des formes de femme fatale (on dirait une Marylin Monroe habillée en Anita Ekberg). Mais par sa voix fantastique, elle est aussi capable de tenir en haleine un public charmé par autant de délicatesse et simplicité. On se rappelle du single « Oh » tiré de son premier album White T-Shirt (2007), véritable hit de l’été en 2008. On est heureux de découvrir avec ce deuxième album Honky Tonk que son premier opus n’était pas qu’un caprice de petite fille gatée.

Mickey Green – TL (Teaser)

Un défilé de mode et d’instruments

Des éléments pop et jazz parsèment les mélodies de cet album à l’atmosphère funky. Mickey nous dévoile ses talents à la basse, à la batterie, au clavier et surtout au piano, comme dans le morceau super jazzy « TL ». Pendant le concert, elle nous surprend avec une robe à la Jessica Rabbit, tout en paillettes avant de finir avec une tenue très 1950’s. On aurait aimé être en backstage pour la voir se changer.

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Source et Crédits Photos : Michela Cuccagna | StreetPress