4 Français sur 10 craignent les effets secondaires du vaccin H1N1. StreetPress interview le conseiller délégué chargé de la santé dans le 19e arrondissement.
Pas trop stressée à quelques semaines du début du festival ?
Non, non tout va bien.
Pourquoi avoir installé une quatrième scène cette année ?
L’année dernière c’était complet ! On a eu 105.000 festivaliers du coup on a du agrandir les lieux et proposer d’autres choses. Avec cette quatrième scène on peut faire passer 6 groupes par jour en plus. Ça nous permet d’enrichir notre programmation mais aussi d’éviter qu’il y ait trop de monde devant les scènes.
Qu’est ce qui vous différencie des autres festivals rock ?
Notre objectif n’est pas d’être unique à tout prix. C’est vrai qu’on a des artistes qui sont identiques mais nous ce qu’on veut, c’est correspondre à notre public. Et puis on a le lieu qui nous différencie on est dans un parc naturel classé. On organise aussi des expositions, des ateliers pour les enfants … Notre objectif c’est surtout d’être intéressant.
Vous parliez de « correspondre à votre public » mais votre public c’est qui ?
C’est une grosse majorité de gens habitant Paris et sa région. Mais on a aussi 30% de gens qui viennent de toute la France et 10% d’étranger surtout des anglais.
Et sinon pourquoi c’est si cher Rock en Seine ?
Ce n’est pas plus cher que les autres festivals. Une journée à 49 euros ça peut paraître cher mais on propose 20 concerts par jours et plein d’autres activités. Si vous prenez le prix d’un concert à Paris ça revient quand même bien moins cher au final.
Les places aux Eurokéennes coutaient 42 euros par jour avec 3 jours de camping. A Rock en Seine c’est 49 euros et l’emplacement pour le camping est à 90€ pour 4 personnes … Il y a une différence quand même?
Oui mais c’est pas énorme. Et puis nous on est plus prêt de Paris c’est plus pratique, surtout pour les parisiens.
Quels conseils donneriez-vous aux festivaliers qui vont débarquer à la fin du mois ?
Je leur dirais de commencer à faire leur planning, de prévoir leurs feuilles de route. Si ils ont un Iphone ou un androïde, à partir de l’application Rock en Seine ils peuvent faire leur propre programme personnalisé. Et puis il faut qu’ils prennent le temps d’écouter de nouvelles choses, de découvrir de nouveaux groupes…
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