L’ancienne usine de piles « Wonder », près du marché aux puces de Saint-Ouen, est squattée par des artistes entre 20 et 30 ans. Bien organisés, ils promeuvent un fonctionnement « bisounours », sans hiérarchie, où tout le monde se file des coups de main.

Depuis 6 mois, 500 tirages de street photographie sont cimentés sur les murs de Paris, signés avec le hashtag #Backtothestreet. Des clichés volés, que le street photographe réinstalle dans la rue… et que des petits malins s’amusent parfois à voler.

Après Tokyo ou le Bon Marché, la marque « La Commune de Paris 1871 » ouvre une boutique dans le 3e arrondissement, pour vendre ses chemises à 140€ pièce. L’historien communiste Roger Martelli voit rouge.

Petit tour à gare du Nord, où 16 bénévoles du collectif Quai 36 incrustent des street artistes à tour de bras pour repeindre les quais et les couloirs de la gare, grâce au financement d’une filiale de la SNCF. Photos.

Ils sont informaticien ou étudiant et sculptent des statuettes en argile pour satisfaire leurs dieux. Bienvenue chez les Wicca, un mouvement spirituel dont les adeptes se retrouvent dans les forêts franciliennes.

Pour valoriser son patrimoine, la SNCF invite des artistes à décorer ses bâtiments abandonnés. Mais pour poser sur un vieux château d’eau, les graffeurs devront payer et même céder leurs droits d’auteurs. Pigeons vous avez dit ?

Un drone capable d’être piloté depuis n’importe où en France grâce à la 3G ? C’est le projet sur lequel bossent Mathieu et à sa bande. Mais attention à ne pas fâcher Manuel Valls.

C’est l’histoire d’Achraf Ben Brahim qui débarque en France à 8 ans et qui, ses papiers en poche et quelques années plus tard, « teste » les partis politiques français, pour savoir lequel lui conviendrait le mieux. Verdict : aucun.

Avec « les Zombislamistes », Morad Saïl et ses potes bossent sur un court-métrage de série Z qui s’amuse du discours anti-musulmans.

Les 44 agents d’entretien de la société Onet, prestataire de la BNF, ne passent plus l’autolaveuse depuis 8 jours. Pendant ce temps, la plupart des étudiants révisent... et n'en ont pas grand-chose à faire.