8 articles publiés
Vis ma vie d'imam
Imam, c'est un métier où « il faut être disponible 24 heures sur 24 » explique Abdeslam Hafidi qui dirige un institut de formation d'imams. Avec une rémunération au niveau du smic les mosquées peinent à attirer les jeunes diplômés.
Par Alexander AbdelilahProfession : plume d'homme politique
Sur StreetPress, Hakim El Karoui, nègre de Raffarin, y va cash : « En campagne électorale, on peut dire n'importe quoi. » Avec Patrick Farbiaz, plume d'Eva Joly pour la dernière présidentielle, il livre les secrets d'un bon discours politique.
Par Alexander AbdelilahHugo Amsellem, 24 ans : «Quand tu montes une start-up, tu penses à ça tout le temps ! »
À 24 ans, Hugo court partout et tout le temps. Pour résister au rythme de sa vie d'entrepreneur hyperactif, « il faut faire du sport, du sport et encore du sport. Sinon t'exploses ! » En 6 mois d'activité, il a déjà lancé 30 projets musicaux.
Par Alexander AbdelilahDéçus, les jeunes militants PS espéraient des postes dans les cabinets ministériels
Prenant au mot Hollande et son discours pro-jeunesse, une poignée de jeunes militants PS s'imaginaient déjà en haut de l'affiche. Échec. Énervés, ils ont monté un collectif dénonçant « l'entre-soi de la fonction publique d'État. »
Par Alexander AbdelilahLes cures de jeûne : un moyen de planer en toute légalité
« Un état de très grande conscience mais aussi de fragilité. » Ce n'est pas de weed dont parle Agnès Morin mais d'une cure de jeûne à laquelle elle a participé. Des cadres stressés viennent y retrouver la pêche... et dépensent 2.000€.
Par Alexander Abdelilah« On n'est pas la génération Marine ! »
Sur Street Press, Sarah Aizenman, du collectif Génération Marianne, appelle à un Freeze géant demain samedi, à Paris. "Le discours FN est dangereux, mais personne ne se révolte, personne ne se mobilise."
Par Alexander AbdelilahSyrie : « Le désir amoureux est plus fort sous l'oppression »
Sur StreetPress, Maram Al-Masri parle de désir dans un pays en guerre, le désir d'amour, d'érotisme et celui de liberté. Avant de confier : « tous les jours depuis le début de la révolution, je pleure. »
Par Alexander Abdelilah
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