Pauline Gauer

Pauline Gauer

Journaliste photoreporter. Interroger la géographie humaine, raconter l’autre et témoigner des précarités et des crises migratoires.

37 articles publiés

Sans raison, les forces de l’ordre ont dévissé la plaque en hommage au résistant manouche

« On a cru que c’était la guerre » : Violente intervention policière dans la famille du militant décédé Raymond Gurême

« On a cru que c’était la guerre » : Violente intervention policière dans la famille du militant décédé Raymond Gurême

Le 7 novembre, deux hélicos et de nombreux camions débarquent sur le terrain de la famille Gurême dans l’Essonne. Les agents auraient menotté et menacé avec des armes plusieurs personnes, dont des mineurs, avec des dégradations et propos racistes.

L’amour a gagné

Un nouveau rayon de soleil

Un nouveau rayon de soleil

Ce dimanche soir, le Nouveau Front populaire arrive en tête à l’Assemblée. Le RN et ses alliés sont largement battus. Sur la place de la République à Paris, la foule est en liesse. Les gens se serrent, s’embrassent, rient, pleurent.

« En plus des JO, ça commence à devenir compliqué pour nous »

Pour les sans-papiers, l'inquiétude face à la montée du RN

Pour les sans-papiers, l'inquiétude face à la montée du RN

Jocelyne, Aïcha, Sabri, Atari et Ghulam sont sans papiers en région parisienne. Depuis la dissolution de l'Assemblée nationale, de nombreuses personnes exilées et réfugiées en France s’inquiètent de la montée du Rassemblement national.

300 personnes ont trouvé un toit

« J'héberge un réfugié »

« J'héberge un réfugié »

Marie, Antoine ou Charlotte accueillent un réfugié dans leur appartement. Après plusieurs mois de cohabitation, ils racontent cette expérience.

« La musique est une pancarte efficace ! »

Les chanteuses de manifs

Les chanteuses de manifs

Alternatiba, CGT, FO ou encore ATTAC : depuis le début des mobilisations contre la réforme des retraites, les animatrices de cortèges utilisent les paroles de chansons détournées pour faire passer leur message.

StreetPress a visité le centre de rétention administratif du Mesnil-Amelot

« J’ai perdu 20 kilos depuis que je suis enfermé ici »

« J’ai perdu 20 kilos depuis que je suis enfermé ici »

À côté de l’aéroport Paris CDG, des exilés sont enfermés dans le centre de rétention du Mesnil-Amelot en attendant d’être expulsés. Le mois dernier, la Cimade, seule asso sur place, s’est retirée pour dénoncer les conditions indignes des retenus.

« J'avais le droit à un : “Sale négresse ou grosse salope !” »

Je suis noire et mon voisin est raciste

Je suis noire et mon voisin est raciste

Saly, mère de deux enfants, est victime du harcèlement raciste de ses voisins. Des insultes régulières qui visent aussi ses enfants. Elle a porté plainte, mais la police ne s’intéresse pas vraiment à l’histoire.

« Si l’immeuble avait été aux normes, peut-être qu’on s’en serait sortis »

Aissé, 13 ans, morte à cause du mal-logement

Aissé, 13 ans, morte à cause du mal-logement

Un an après la mort de sa petite sœur Aissé dans l’incendie de leur appartement familial, dans un HLM de Garges-lès-Gonesse, Massalé organise une marche. Il dénonce l’absence de sécurité incendie et alerte sur le mal-logement dans les quartiers.

Avec le soutien de la préfecture de police

Rida, policier-influenceur

Rida, policier-influenceur

Rida, policier à Saint-Denis est aussi une petite star des réseaux sociaux. Sur Instagram et TikTok, il fait la promotion de la police nationale. En toute indépendance ? Pas vraiment…

Aucun accès à l’eau ni aux sanitaires

70 mineurs isolés dorment sous un pont d’Ivry-sur-Seine

70 mineurs isolés dorment sous un pont d’Ivry-sur-Seine

Environ 70 mineurs isolés dorment sous un pont d’Ivry-sur-Seine depuis près de deux mois dans des conditions difficiles. Sans solution de logement, ils attendent de pouvoir justifier de leur minorité au tribunal dans l'espoir de ne plus être à la rue.

Un retour au point de départ à chaque nouveau campement

À Paris, l’errance des exilés afghans

À Paris, l’errance des exilés afghans

Face à l’absence de solution d’hébergement, des hommes seuls afghans doivent constamment se déplacer de campement en campement dans des conditions dramatiques, provoquant toujours plus d’épuisement et de fragilité.