Sur Instagram, l’entrepreneuse « Amel se motive » donne ses conseils et vante sa formation à 3.000 euros à presque 100.000 personnes. Mais une cinquantaine d’élèves l’accusent d’escroquerie et estiment avoir été victimes de manipulation émotionnelle.
Anton, exilé arménien s’est vu proposer un logement par une association en échange d’un peu de bénévolat. Sauf que selon lui, il s’agissait d’un travail à temps plein – au moins. Et quand il a rouspété, ils l’ont viré.