Les Haïtiens ne viennent plus seulement en Guadeloupe pour des raisons économiques, mais pour fuir l’extrême violence imposée par les gangs. La France maintient les renvois d’Haïtiens, malgré les appels répétés de l’ONU et d’ONG.
Suivi médical aléatoire, interruption de soins, abus sexuels, instrumentalisation, traumatismes... Pour les détenus qui souffrent de troubles psychiatriques, le passage derrière les barreaux s'apparente souvent à un cauchemar.