Alors que deux centres d’accueil pour demandeurs d’asile (Cada) doivent fermer en Haute-Loire, des bénévoles et habitants se mobilisent, malgré un climat local et national parfois hostile et une justification budgétaire contestée. Reportage.
À Nîmes, une fois par semaine, des femmes exilées se réunissent pour chanter. Ces ateliers, proposés par le centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) du groupe SOS, permettent à ces femmes d'apprendre le français et de nouer des liens.