Les Haïtiens ne viennent plus seulement en Guadeloupe pour des raisons économiques, mais pour fuir l’extrême violence imposée par les gangs. La France maintient les renvois d’Haïtiens, malgré les appels répétés de l’ONU et d’ONG.
Plus de 500 femmes menacées d’expulsions passent chaque année au centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot. Derrière ces murs, elles n’ont pas d’intimité, l’hygiène y est déplorable et certains produits de première nécessité manquent.