Dans l’écoquartier de la Cartoucherie, les habitants d’une résidence dénoncent une inégalité d’accès à la salle de sport en bas de chez eux : gratuite pour les locataires et propriétaires du parc privé, payante pour les logements du parc social.

Depuis sa création en 1969, l’UNI a représenté les étudiants conservateurs jusqu’à être vassal du principal parti de la droite. Ses troupes vont désormais au RN et multiplient les actes de racisme et signes néonazis. Bruno Retailleau les soutient.

Après des années de souffrance, Jean-François D., ancien brigadier-chef à la Direction générale de la sécurité intérieure, dénonce les dysfonctionnements managériaux et le racisme décomplexé au sein de l'institution policière.

Le cabinet d’avocats Gide a mis fin au contrat de quatre stagiaires pour « propos à caractère raciste », découverts notamment sur leur messagerie professionnelle. Une enquête est ouverte.

Les derniers résultats des BTS viennent de tomber pour les candidats aux rattrapages. Des étudiants concernés racontent avoir été convoqués à leur oral à plusieurs centaines de kilomètres de leur lycée. Aucune aide ne leur a été proposée.

Fin 2023, Romain, avocat à Strasbourg et président de la Commission des droits de l’homme, est limogé après avoir appelé au respect du droit international et à la protection des civils à Gaza. « Une discrimination », selon le Défenseur des droits.

Depuis 2014, Beaucaire est dirigée par l’extrême droite. Une sélection commerciale s’y est installée progressivement. Certains commerces sont encouragés, tandis que ceux à destination des Maghrébins ou des Latino-Américains sont exclus.

Stages modifiés en CDD, expériences inventées, changement de prénom ou d’adresse… Des jeunes diplômés racontent avoir menti sur leur CV pour trouver un emploi plus facilement et contourner les discriminations pour sortir de la précarité. Témoignages.

Treize membres du groupuscule identitaire les Natifs étaient jugés à Paris pour une banderole raciste contre Aya Nakamura déployée en mars 2024. Seulement trois d’entre eux se sont présentés, et ont refusé de répondre aux questions du tribunal.

En juillet dernier, deux lycéens se font rouer de coups et subissent des insultes racistes par une dizaine d’hommes affiliés au collectif identitaire le Maquis. Les mineurs font face aux lenteurs de la justice alors que le groupe est toujours actif.