Dans les Flixbus et Blablacar, moins chers que les trains, les contrôles d'identité et au faciès s’accentuent sur les routes de France. Pour les personnes sans papiers, ce moyen de transport souvent privilégié est de moins en moins sûr.
Le témoignage inédit d’un policier et de nombreux documents permettent à StreetPress de révéler les sales méthodes des Unités de lutte contre l’immigration irrégulière et notamment l’usage industriel des contrôles aux faciès.