Jules Laurans est à la manœuvre de certaines enquêtes du média d’extrême droite « Frontières », qui lui ont valu une invitation en novembre à l’Assemblée. Problème : il se serait approprié celle sur le média rap, Booska-P, au détriment d’un pigiste.
Jusqu’ici plutôt épargnée par les violences attribuées à l’extrême droite, la ville de Brest connaît une escalade de violences, attribuées à un même groupuscule, en roue libre depuis quelques mois. Trois plaintes ont été déposées.