Les femmes exilées sont encore plus impactées que les autres par la baisse des financements publics, alerte Violette Perrotte, directrice de la Maison des femmes de Saint-Denis.

Pour visibiliser le sujet des violences conjugales, une ferme au milieu des monts d’Ambazac, accueille un festival pour ramener les combats féministes dans les campagnes et sortir des clichés bucoliques sur le milieu rural.

Depuis août, des séances de sport sont proposées aux mamans du quartier Gabriel, à Choisy-le-Roi, pour se dépenser et les sortir de leur isolement. Une initiative de Mamédy Doucara, champion du monde de taekwondo et enfant du quartier.

Selon une enquête, 60% des femmes ont été victimes de harcèlement ou d’agression sexuelle en milieu festif. Mains baladeuses, baisers non-consentis, agresseurs violents, des femmes racontent leurs expériences des fosses de concert.

Arrivée en France à 16 ans, l’adolescente s’est vue être mise au banc de la protection de l’enfance. Prise en grippe, les obstacles se sont multipliés, au point qu’une fois adulte, on veuille lui retirer la garde de son enfant.

L’hiver, l’Hôpital Delafontaine à Saint-Denis héberge dans sa salle d’attente plusieurs dizaines de femmes seules, enceintes ou avec des enfants. Le 21 avril, faute de solutions de relogement, elles risquent d’être remises à la rue.

Les cuisines collectives, maillon essentiel de la solidarité dans les foyers de travailleurs immigrés, sont menacées de destruction par un plan national de rénovation. Rue Edouard-Branly, à Montreuil, résidents et cantinières tentent de résister.

Ces 10 personnalités de moins de 30 ans ont des projets, des engagements et des radicalités politiques différents. Toutes ont l’ambition de participer à rendre le monde plus juste et inclusif. Découvrez le top 2025 de StreetPress.

90 % des femmes réfugiées qui empruntent la route de la Méditerranée sont violées. Louiza Daci, directrice nationale Asile et Intégration du Groupe SOS Solidarités, dénonce un dispositif insuffisant pour accompagner ces femmes en France.

Entre 2021 et 2023, Célia, Léa, Loubna et Maria ont successivement porté plainte contre le rappeur Jorrdee – trois pour violences sur conjoint, une pour harcèlement et dégradation. Il a plaidé coupable.