Au foyer malgache de Cachan, les étudiants se sont mobilisés contre le président malgache, Andry Rajoelina, mais aussi contre les pressions d’un directeur qu’ils jugent aux bottes du pouvoir.

Depuis août, des séances de sport sont proposées aux mamans du quartier Gabriel, à Choisy-le-Roi, pour se dépenser et les sortir de leur isolement. Une initiative de Mamédy Doucara, champion du monde de taekwondo et enfant du quartier.

Arrivée en France à 16 ans, l’adolescente s’est vue être mise au banc de la protection de l’enfance. Prise en grippe, les obstacles se sont multipliés, au point qu’une fois adulte, on veuille lui retirer la garde de son enfant.

Des dizaines de familles avec des enfants âgés d’au moins trois ans craignent d’être expulsées et remplacées par des ménages jugés plus en détresse dans deux hébergements d’urgence du Rhône, sans proposition alternative, par les pouvoirs publics.

Depuis octobre, des mineurs non-accompagnés, placés dans un dispositif d’accompagnement le temps d'être réorientés, disent être privés de leur liberté de mouvement. La direction du centre, elle, dément.

Bakary Boudou a transformé la chambre de son foyer en resto à emporter de thieb. Dans son quartier de Belleville, le Mauritanien est devenu une référence et sert même Kaaris, Fary ou Djadja et Dinaz. Il vient d’ouvrir son restaurant.

« Je suis seule à élever 4 enfants. Ils ont entre 9 et 16 ans, c’est intense ! ». Alors que des villes comme Ris-Orangis ou Paris ont voté un statut de la famille monoparentale, Ève raconte à StreetPress son quotidien de maman solo.

Plusieurs employés, licenciés depuis, ont depuis des mois tenté d’alerter leur direction et le département sur les dysfonctionnements d’un foyer de l’enfance mosellan. Plusieurs plaintes ont été déposées début 2024.

Naïma, Mia, Dounia et Sofia ont eu le courage de fuir un foyer violent, avant d’être confrontées à la précarité et à la rue dans la région lilloise.

Dimanche 28 janvier, un incendie a détruit un foyer de travailleurs de Montreuil. Les locataires officiels sont relogés mais pas les 70 sous-locataires pourtant tolérés. Après cinq jours d’errance et de mobilisation, ils vont enfin retrouver un toit.