Les femmes exilées sont encore plus impactées que les autres par la baisse des financements publics, alerte Violette Perrotte, directrice de la Maison des femmes de Saint-Denis.
À Nîmes, une fois par semaine, des femmes exilées se réunissent pour chanter. Ces ateliers, proposés par le centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) du groupe SOS, permettent à ces femmes d'apprendre le français et de nouer des liens.
« Quand on commence le travail de dramathérapie avec des personnes réfugiées, on travaille sur des choses très simples, comme pouvoir dormir la nuit », explique Marianna Kazmierczak, qui accompagne des exilés au sein d’un centre à Ris-Orangis.