Derrière la façade du Relais, entreprise « solidaire » de tri de vêtements, se cache de l’exploitation, un management brutal, des fraudes fiscales et sociales. Duponchel, son patron dans le Nord, aussi responsable chez Emmaüs, est jugé ce 13 juin.
Ils sont sans-papiers, pas déclarés et indemnisés à peine 150 euros par mois pour un temps-plein épuisant. Mardi 13 juin, la communauté Emmaüs de la Halte Saint-Jean, accusée de traite des êtres humains et travail dissimulé a été perquisitionnée.