À l’Assemblée nationale, un texte sur trois présenté par le Rassemblement national reprend une proposition ou une idée d’un autre groupe politique. Une stratégie du caméléon qui met les élus face à leurs contradictions de ne pas voter ses propositions.

Sept ans après les faits, un policier a été condamné à six mois de prison avec sursis pour avoir tiré au LBD-40 dans la tête d’un Gilet jaune en 2018, le blessant grièvement à la mâchoire. StreetPress était présent au procès.

Ce samedi, des centaines de personnes ont défilé pour la première Mad Pride autonome, composée uniquement de personnes psychiatrisées. La marche « des fiertés folles » se veut politique et dénonce les violences des institutions psychiatriques.

Baisse des effectifs, activités supprimées, accueil réduit… Les salariés de l’institut médico-éducatif Pierre de Lune, géré par l'Adapei 69, subissent un « plan de remise à l’équilibre » qui leur font craindre d’abandonner des familles.

Louisette, 81 ans, vit seule, en fauteuil roulant, depuis 25 ans. Elle habite au premier étage d'un immeuble sans ascenseur dans la cité des Tilleuls, au Blanc-Mesnil. Elle n'a aucun moyen de sortir de chez elle.

Le 13 novembre 2018, Tidiane est gravement blessé à la jambe après s’être fait renverser par une voiture. Il raconte ses 42 opérations et les soins quotidiens pour tenter de sauver sa jambe.

Après la victoire du Rassemblement national aux élections européennes, l’extrême droite radicale se déchaîne. À Toulon, un individu a menacé un manifestant en situation de handicap avant de faire des saluts nazis.

Mutilée par un tir de LBD, l'ex-Gilet jaune s'est vu refuser son avance d'indemnisation par la Cour d'appel de Paris. La trentenaire devenue handicapée et ultra précaire voit cette décision comme de « l'acharnement ».

Rémy accuse deux policiers de violences très graves. Il est aujourd’hui en situation de handicap. L’IGPN reconnaît que les blessures sont consécutives à l’intervention policière mais l’accuse de s’être débattu et le parquet a classé l’enquête.

Chaque année, des millions d’allocataires doivent des sommes faramineuses à la Caf ou à Pôle emploi, souvent en raison d’une erreur de l’organisme. Parfois à tort. Sarah, Pierre ou Adrien racontent « l’épée de Damoclès au-dessus de la tête ».