Les vestiges industriels et ouvriers de cette partie du Grand-Paris et ses friches périphériques ont laissé place aux dancefloors techno. Au point où Paris n’aurait plus rien à envier à Berlin.
Patrick Drahi possède une collection de plus de 200 œuvres estimées à 750 millions d’euros. De l’achat au stockage, jusqu’aux déplacements de sa collection, tout est pensé avec un seul objectif : que cela lui coûte le moins possible.