Angoisse de devoir payer une amende, cours ratés, sentiment d’humiliation… Plusieurs jeunes franciliens racontent comment et pourquoi ils sont obligés de frauder les transports en commun à cause de leur modeste budget.
Elles vendaient des brochettes sur des petits barbecues improvisés à la sortie de la gare de Grigny. Mais lassées des saisies de la police, une petite dizaine de femmes s'est regroupée dans une association où elles cuisinent désormais pour les précaires.