Chaque année, le Maroc organise un séjour tous frais payés pour 300 étudiants de la diaspora, dont des dizaines de Franco-marocains. Un moyen de se reconnecter à leur pays d’origine pour les participants et un outil d’influence pour le royaume.
Dans le Lot-et-Garonne (47), deux travailleurs marocains auraient porté plainte pour traite d’êtres humains chez un producteur de pommes, élu du syndicat agricole proche de l’extrême droite.
Mustapha faisait partie des mineurs marocains à la dérive de Barbès. Il avait pourtant un plan : aller à l’école, trouver un travail, des papiers et sortir sa famille de la misère. Ses espérances se sont fracassées au dénuement. Il a été retrouvé pendu.