Cinq internautes étaient jugés le 18 septembre 2024 pour des messages de haine et des menaces de mort sur les réseaux sociaux après l’affaire Crépol. Derrière leurs posts se dessine la normalisation de la haine et des discours d’extrême droite.
Après les révélations de StreetPress sur les soutiens armés d’Éric Zemmour, la fachosphère se mobilise et menace l’auteur de l’enquête mais aussi plusieurs journalistes et politiques connus pour leurs engagements contre l’extrême droite.