Cinq internautes étaient jugés le 18 septembre 2024 pour des messages de haine et des menaces de mort sur les réseaux sociaux après l’affaire Crépol. Derrière leurs posts se dessine la normalisation de la haine et des discours d’extrême droite.
Depuis l’attaque du Hamas contre Israël du 7 octobre et les bombardements sur Gaza, des Français de confession juive engagés à gauche se sentent déchirés et sommés de s’exprimer.