Sorti en juin, le court métrage du duo d’artistes Fleuryfontaine s’inspire des secondes clés d’une affaire de violences policières bien réelle, où un policier de la BAC de l’Essonne a crevé l'œil d’un homme de 19 ans ne présentant aucun danger.

Malgré les critiques, le groupe Casino a maintenu son partenariat d’arrondi en caisse pour financer Espérance banlieues. Un réseau d’écoles privées hors contrat pourtant accusé de d’humiliations et de violences.

Negros Tou Moria est l’un des plus gros rappeurs de Grèce. StreetPress l’a suivi dans les quartiers populaires d’Athènes, où il nous raconte sa trajectoire de fils d’immigrés africains, entre succès, racisme et discriminations.

L’été, les parents de Divine, Khady, Ryadh et Thaïs les envoient chez leurs tantes. Des vacances d’une cité à une autre, avec leurs cousins, à traîner au parc et à la piscine, entre oisiveté et manque de moyens.

Avec son émission Disons-nous les choses, Aboubakar Sakanoko « rend visible les invisibles et donne une voix à ceux qui n’en ont pas » depuis neuf ans. Le présentateur lance une levée de fonds pour poursuivre sa « mission ».

En avril dernier, Hamza, 23 ans, est tué lors d’une fusillade à Arles dans les Bouches-du-Rhône. Sur les réseaux sociaux, les commentaires liés à sa mort choquent les habitants de son quartier. Yanice, son ami d'enfance, se confie à StreetPress.

En Ile-de-France, certains jeunes sont multi-verbalisés de manière peu justifiée. Des montants qui atteignent parfois des dizaines de milliers d’euros. Associations et collectifs tentent d’alerter sur le phénomène et d’accompagner les concernés.

Adama Camara, ancien détenu, a reproduit sa cellule de prison de 9m2 dans un camion. Il entame un tour de France avec cette « grotte mobile » pour sensibiliser les plus jeunes et casser les clichés sur la détention.

Après beaucoup d’échanges avec nos lectrices et lecteurs, on souhaite rendre StreetPress plus participatif et ouvert ! On voudrait créer un club des lectrices et lecteurs de StreetPress. Pour nous aider à y parvenir, répondez à ce petit questionnaire.

À contre-cœur, Inès, Bilal, Anissa, Sirine et Sarah préparent leur départ. Ces Français descendants d’immigrés ou binationaux n’imaginent pas vivre dans un pays gouverné par le Rassemblement national.