Un mois avant le changement de régime, le groupe français a livré trois radars à Kaboul. StreetPress a enquêté sur ce contrat de 110 millions d’euros qui n’a pas été officiellement annulé et dont les talibans profitent pour monter une « fake news ».
Par
Lina Rhrissi
,
Hafiz Ahmad Miakhel
,
Mathieu Molard