Un projet de vidéosurveillance algorithmique est en train d’être installé à Saint-Denis par le maire Mathieu Hanotin. Imposé en toute discrétion, le logiciel analyse le comportement des citoyens et citoyennes à l’aide de leurs données biométriques.
Près de 400.000 fois par an, la police utilise la reconnaissance faciale via un fichier qui recense 19 millions de personnes. Le système est à la frontière de la légalité et provoque son lot d’inquiétudes. StreetPress fait le point.