La cité portuaire est confrontée à une montée de l’extrême droite, à l’image de ce qu’il se passe dans d’autres villes de Bretagne. Syndicalistes et militants antifascistes locaux tentent de riposter.
En un an, au moins sept surveillants, une professeure et un CPE ont été écartés de leur poste au lycée Victor Hugo à Marseille. Leur point commun : tous sont syndiqués ou ont tenté de dénoncer « des dysfonctionnements ».