À 31 ans, Antoine Retailleau, éducateur spécialisé, a entamé les démarches pour changer de nom de famille. Le militant de gauche ne supporte plus d’être associé au ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, trop à droite à son goût.

À Barcelone, en Espagne, des vendeurs à la sauvette sans papiers ont créé leur marque de vêtements : Top Manta. Grâce à ce projet, ils ont pu quitter la vente ambulante et régulariser 200 personnes.

Sur TikTok, La Cagoule, un chauffeur routier cagoulé, filme son quotidien pour ses 500.000 abonnés. Entre les lives sur les réseaux, son camion décoré et sa vie sur la route, il raconte à StreetPress comment il veut casser les clichés sur les routiers.

Depuis janvier, des milliers de patients atteints de maladies psychiques sont en rupture de traitement forcée. Entre crise de panique et trouble de l’anxiété, ils racontent les conséquences de ces pénuries et le manque d’alternatives.

En 2019, Kossdar est condamné à 18 ans de prison pour une attaque de policiers. Mais en 2021, après quatre ans de détention, il est acquitté avec sept autres accusés. C'est l'affaire des acquittés de Viry-Châtillon (91).

Selon une enquête, 60% des femmes ont été victimes de harcèlement ou d’agression sexuelle en milieu festif. Mains baladeuses, baisers non-consentis, agresseurs violents, des femmes racontent leurs expériences des fosses de concert.

Arrivée en France à 16 ans, l’adolescente s’est vue être mise au banc de la protection de l’enfance. Prise en grippe, les obstacles se sont multipliés, au point qu’une fois adulte, on veuille lui retirer la garde de son enfant.

Condamnée pour homicide involontaire, Justine Audoin découvre une passion pour la cuisine depuis sa cellule de prison de Fleury-Mérogis (91). Aujourd’hui cheffe dans un bistrot parisien, elle revient sur son parcours carcéral.

Après le meurtre d’Aboubakar Cissé dans une mosquée du Gard, de nombreux croyants ont dénoncé la violence et l’islamophobie du drame. Certains s’interrogent sur la place des musulmans dans la société française.

À 10 ans, Rania est abandonnée par son père. Placée en famille d’accueil, elle échoue, à la fin de la prise en charge de l’aide sociale à l’enfance à ses 18 ans, dans la rue. Mais, elle n’a jamais abandonné son rêve d’être avocate.