Lucas Sztandarowski, ancien militant du groupe d’extrême droite Vengeance Patriote et récemment condamné pour apologie du terrorisme, était également poursuivi pour menaces de mort à l’encontre d’une personne mineure de 14 ans.

Victimes collatérales des sanctions imposées à leur État et de clichés sur leur nationalité, les Iraniens installés en France se démènent pour avoir droit à un compte bancaire. 70 d’entre eux témoignent des discriminations qu’ils vivent ici.

Depuis le 17 janvier, la justice juge les Barjols, un groupe d’extrême droite qui a voulu assassiner Macron ou attaquer des exilés. Parmi eux, deux profils détonnent : des néonazis qui ont voulu leur fournir des armes ou les former à leur maniement.

Ogur, élève en école de police, est accusé d’avoir menacé l’un de ses formateurs. Le parquet va classer l’affaire mais son école va tout de même décider de le virer.

Violence et terrorisme, quelle est la menace réelle ? Pour répondre à cette question StreetPress a invité Aurélien Taché, député Les Nouveaux démocrates et Maxime Macé, journaliste pour StreetPress et Libé.

Dans une forêt de l’Ouest de la France, des militants d’extrême droite, soutiens actifs d’Eric Zemmour, s'entraînent au tir sur des caricatures racistes de juifs, de musulmans et de noirs. Enquête.

C’est une arme lente à charger mais aussi dangereuse qu’un flingue classique : le pistolet à poudre noire. Il est pourtant disponible en vente libre et permet à l’extrême droite radicale de s’armer en toute tranquillité.

Ancien journaliste spécialisé dans les cultures urbaines devenu écrivain, Karim Madani raconte dans son bouquin Tu ne trahiras point, les premiers pas des graffeurs parisiens et leur traque féroce par la police.

Brahim est surveillant dans un collège à Roubaix. Il a été signalé puis licencié pour radicalisation après un débat avec un professeur sur l’esclavage. Il souhaite porter plainte pour « licenciement abusif ».

Au procès des attentats de 2015, les défaillances des services français émergent. Six mois avant le drame, pas moins de cinq services de sécurité savaient que Claude Hermant vendait des armes. Pourquoi ne l'ont-ils pas arrêté à temps ?