Dans la nuit du 6 septembre, les portes d’une dizaine de bureaux aux Arches citoyennes, plus grand espace d’accueil solidaire parisien, ont été forcées. Des ordinateurs ont été volés, des menaces de mort racistes et des croix gammées ont été taguées.
Les vestiges industriels et ouvriers de cette partie du Grand-Paris et ses friches périphériques ont laissé place aux dancefloors techno. Au point où Paris n’aurait plus rien à envier à Berlin.