Dans les Flixbus et Blablacar, moins chers que les trains, les contrôles d'identité et au faciès s’accentuent sur les routes de France. Pour les personnes sans papiers, ce moyen de transport souvent privilégié est de moins en moins sûr.
À la frontière franco-italienne, les assos constatent un afflux de migrants. Elles demandent le soutien de l’État, qui préfère renforcer sa chasse aux exilés. Pour échapper à la police, ces derniers prennent de plus en plus de risques.